Le joyeux manu a écrit:
Seul les Canadiens et Calimacil imaginent cela...
Mais on tape sur mon pays ici !
M'enfin qu'à moitié, mon pays est le Québec ... le Canada c'est l’occupant!
Je doit admettre que les légendes qui courent sont belles et bien fondés : La majeur partie des GN que j'ai fait outre-atlantique acceptaient l'estoc.
Heureusement au moins un orga Québécois résiste encore et toujours à l'envahisseur: de l'autre coté de l’atlantique il s'évertue à proposer des GN refusant cette hérésie insécuritaire qu'est l'estoc.
Quel est son secret : Il est expat
Nico a écrit:
y'a aussi interdir les gens de boire et de fumer
Ça j'ai déjà vu sur des GN en France (
j'en organise même un qui le fait). Personnellement je pense que c'est à peu près aussi utile que d'interdire le cannabis dans un festival de reggae, on le signale mais on n'invite pas la brigade des stups pour faire un contrôle surprise. C'est une caution morale sans grandes convictions derrières mais ça protège un tant soit peu l'organisation en cas de casse.
Sinon je suis substantiellement d'accord avec tout ce qui à été dit:
- Les gens à qui on à jamais appris à retenir leur coup feront toujours mal quel que soit leur arme.
Les gens qui ne sont pas dans l'état de ce contrôler également. - Les armes qui sont jugés trop dures / non sécuritaires ne doivent pas passer l'étape du check.
Le check est là pour ça, même si le type jure sur la vie de ces enfants qu'il sais taper avec sans faire mal, les critères c'est carré. - Les gens qui jouent pour et par leur égo et qui ne savent accepter leur défaite (au combat comme ailleurs) trouveront toujours un moyen hors-jeu de la justifier (invoquer le non respect des règles etc) pour ne pas perdre la face.
Le recours abusif au "Il tapait trop fort, j'avais mal" étant un classique dans une situation de combat; ce qui veut pas dire que la remarque est systématiquement injustifié, loin de là. C'est juste qu'on l'a vu souvent et qu'on continuera malheureusement à le voir.