by Leïa a écrit:
L'habit ne fait pas le "moine" (dsl ) alors là tout à fait d'accord c'est la bierre qui fait un bon moine, non mais !
Sakoche a écrit:
Quand au détracteur de la
Guilde des ombres sous prétexte de doublon, je ne dirais qu'une chose : cela peut faire jouer la concurrence, méfions nous des monopoles dangereux dans ce genre
heee bin cher confrere je ne vous savez un tnant du liberalisme... re-:lol:
Pour ce qui est des noms des choses bien sur que ça a une importance... exemple en france on parle d'hopital psychiatrique (enfin jusqu'a maintenant ...) bin ça à l'air de rien comme ça, c'est qu'un nom me diront certains, sauf que ça implique des choses précises. Avant on parlais d'asile d'alliénés, c'est à dire que les patients (qui n'étaient pas appelé comme ça c'étaits des aliénés...) bin on pouvais pas les soigner ou les aider donc c'étais pas la peine d'envisager la sortie y'en avais pas .. Donc on les attachais (à-lier-né... ça viens de là...) et pis basta! Avec le nom d'hopital psy, cela signifie que c'est une structure de soin donc on envisage pas le travail avec les patients de la même manière (et heureusement...). Changer les mots c'est changer les choses!
Pour ce qui est de la guilde des ombres je pense personnellement que ce trimballer a 10 dans les coins sombres avec des masques sur le pif n'incite pas vraiment a vous faire confiance, oui c'est un pauvre préjugé mais c à mon sens la seule manière de le jouer puisque dans thélia, c'était mon postulat de départ en tout cas, les gens ne se connaisent pas forcement et les mondes d'où nous venons ne sont pas tous aussi devellopés que la terre en 2005 . Ainsi tous les travaux de Levi-Strauss et des autres sur la necessité de remettre en cause les préjugés n'y sont pas forcément représebté et il est donc cohérent que nous nous fions à ces préjugé (fin c mon avis ...)
Cependant, je tiens quand meme à remarquer qu'il me sembe que la guilde des ombres à un peu chrytalisé les amertumes et les colères post-Gn, pour ma part je ne suis pas d'accord pour tout leur mettre sur le dos.