Après avoir braqué le coffre du collecteur d'impôt, et suite à un cafouillage de la milice, j'ai commencé le GN en geôles, mon objectif était de m'échapper avant de me faire torturer par le bourreau.
J'étais en train d'essayer de crocheter mes chaînes (symbolisé par un casse tête à résoudre, si j'y arrivais, mes chaînes étaient crochetées), lorsqu'au bout de moins de 5 minutes, j'entends la porte s'ouvrir.
Soulagé de voir que ce n'étais pas tout de suite pour moi, les gens présents (Eustache le fin (l'assistant du bourreau) et une ou deux personnes de la milice) me demandent ce que je fais là. Je leur sort mon baratin comme quoi je venais à Mont-Rocaille pour y trouver un nouveau travail, que la milice m'est tombé dessus dans la forêt qu'ils m'ont roué de coup pensant que je faisais partie de la bande qui avait attaqué le collecteur, puis m'ont jeté en geôles et m'ont laissé tel quel depuis la veille.
Ils font part de mon histoire à Jorin, reviennent me voir, me redemandent ce que je fais là, se concertent entre eux pour savoir si l'un d'entre eux se souvient m'avoir enfermé. Personne ne se souvenant d'une affaire comme celle là, Jorin me sort: "C'est surement les brigands qui t'ont fait ça, allez sors! Tiens v’là deux deniers pour t'acheter de nouveaux vêtements."
Après le GN, Mouss m'a affirmé que ma présence en geôles était bien justifiée dans le BG de la milice et Jorin lui me disait que le seul homme de Varach qu'ils ont capturé s'était déjà enfui... Alors bug de lecture ou d'écriture?
Le premier soir pendant le repas.
Mon "maître" le bucheron et moi sommes à table.
S'assoient à coté de nous deux prêtres, le premier semble attendre un peu, mais le second "plante" allègrement sa cuillère dans son assiette et la porte à sa bouche, mon maître de lui rétorquer :
-"Bin alors mon père?"
S'ensuit quelque secondes d'incompréhension, puis la lumière éclaire son regard ainsi qu'une légère coloration des joues, et en un bafouillement s'exclame:
-"Heuu oui, je goutais juste voir si c'était chaud en attendant notre frère qui va se faire un plaisir de nous dire le Bénédicité, il le fait si bien"
Nico a écrit:
Quand samedi nuit ( 3/4 h ) en rentrant ce couché , Le trumeau ( alias manu en pecor chasseur de barbues varachien ) n'avait plus de souffle pour eteindre les bougies de l'auberge et à du utiliser sa pelle ( arme dont il avait le secret ) pour les éteindre une à une ...
Sinon les bagarres à l'auberge avec Le grondar .
C'est clair que c'est mon plus grand fou rire en GN...
Jean-Do l'Trumeau qui commence à souffler la première bougie, et moi qui lui crie "Eh L'Trumeau, tu ne vas quand même pas souffler les bougies, et ta pelle elle te sert à quoi?"
Et pouf 10 minutes à se tordre de rire pendant que Manu s'évertue à éteindre les 6 ou 7 bougies restantes en les ventilant à la pelle.
Mais toute la soirée a été une succession de fous rires, et l'Trumeau était souvent au milieu de l'action, avec sa chasse du barbu et plus précisément la technique du Varach et de la contre-pelletée.
En vrac:
Glaber et les bastons.
Les jeux de mots sur la comtesse et son mari ("La comtesse est bonne et le compte est bon", "au tripot, il n'y a que la comtesse qui compte" (une Mousserie se cache dans les phrases précédentes, saurez-vous la retrouver?)).
Les fouilles des camps alors que les aut' barbus sont dehors pour détourner l'attention des éventuels passants qui pourraient passer (je me demande toujours comment ils ont fait pour ne pas réveiller les gens qui dormaient dans les camps que je visitais...
Bref, beaucoup de moments de franches rigolades.