Syhlas a écrit:
Ben ouais. Nour. Mais bon c'est pas grave, même notre prince s'emmêle les pinceaux.
Et entendre ta douce voix murmurer mon nom vaut bien le risque d'éveiller le courroux du Prince, belle Dysnomia.
On avait pas dit qu'on serait discret, des fois? Autant pour moi...Je ne risque plus d'oublier.
Mais nous sommes discrets !Mon Prince, mon Prince, vous risquez de vous brûler ! Rangez cela tout de suite. Ne vous mettez pas en colère, je suis toute à vous...
Ishan a écrit:
Me préoccuperai plutôt de ces crocs, mais bon
*regarde afalawas* t'as pas 10 années de services contre les eryptiens à faire subitement? Je vais aller étudier en profondeur les mœurs guerrières des gens d'Arcas et leur proposer commerce d'huile d'Argan
ah mon prince (l'autre donc, pas ce parvenu d'afalawas!)! vous avez retrouvé mon tison! comme c'est gentil
Sois douce avec votre charmant tribun.
Je vais appeler notre marchande pour qu'elle voit ça avec toi ! Ca changera de l'huile d'olive... :p
Ilyas a écrit:
Ishan a écrit:
*regarde afalawas* t'as pas 10 années de services contre les eryptiens à faire subitement?
alors va falloir qu'il apprenne à nager le pépère l'erypt c'est une île maintenant
non parce que ceux qui sont restés ils revoient leurs livres de prière ou grille doucement sur la broche (enfin la broche de ceux qui les mangent la grande majorité de mon peuple ne raffole pas de cette viande).
*pensif* faudrait p'tet inviter les Ouroboréens à diner, on s'échangerait des recettes
Un intrus ! Ici, nous ne nous mangeons pas entre nous. >_< Enfin... à moins de demander la permission et de se trouver dans des circonstances qui le justifient.
Syhlas a écrit:
On est puni par où on a péché, c'est bien çà? Bon ben pour la castration, c'est trop tôt. Faudrait peut être nous laisser un peu de temps (plus que la durée d'une sieste du prince, tout de même)...
Chère, très chère Dysnomia, que l'étoile du matin veille sur vous.
*s'éclipse discrètement par la petite porte qui donne sur la cour arrière, envoie un dernier clin d'œil et un dernier sourire à la promise, remercie en son for intérieur la Bashar qui a désarmé le Prince, nourrit une pensée compatissante pour Afalawas -la bashar est une femme de caractère, mais bon quand on aime pas on est pas jalouse
-, espère que bashar et promise ne se voleront pas dans les plumes pour les faveurs du Tribun, et part se mettre au vert deux ou trois jours*
Mais où pars-tu ? Mon conteur favori m'abandonne ?C'était donc de la jalousie...
Mais il n'y a aucune raison d'être jalouse... et rien à craindre de moi...