Merci à mes meilleurs ennemis, les Este, Guadalmedina, Hapsbourg et consors.
Merci à mes merveilleux alliés, Ligue Sinarchique, Loredan, Cour des Lys, délégation Vaticane.
Merci à tous ceux qui sont passés boire un verre dans la délégation Borgia, un peu éloignée mais toujours chaleureuse.
Merci à ma merveilleuse équipe :
la douce Tessa qui a assomé un homme pour lui prouver qu'elle savait se battre.
Perla qui a écumé les milieux libertins.
Mon enquêtrice Alida qui a reniflé chaque ruelle de la cité.
Mon homme de main Tullio au franc parler incroyable : devant Henri d'Anjou "y'en a marre de tous ces suce-boules qui viennent vous offrir l'Italie"
Agostino l'homme le plus riche d'Italie, dont la profondeur de la bourse a été éprouvée lors de ce week-end. (qui achète les tableaux avant qu'ils ne soient proposés aux enchères)
Demetrio le loyal duelliste membre de la loge Sinarchique.
Evaristo l'ingénieur douillet et épicurien qui nous protégea malgré tout au péril de sa vie.
Merci aux mutemps pour cette distrayante Sfida et la soirée passée dans notre délégation, promis je reviendrai avec une meilleure maitrise du combat de GN
Je retiens l'esquive "Esstraordinaire" de Parisi. La discussion digne d'un film que j'ai eu avec François Borgia : "Dieu pardonne, moi pas". L'entrevue avec l'envoyé de Charles Quint, Cesare : "Vous venez d'employer le mot Italie 4 fois, j'ai déjà gagné, vous savez désormais qu'elle existe.". Les toasts portés mutuellement entre la cours des Lys et les Borgias dans l'hostellerie. Les discussions avec Peretti avant la Sfida. Les tractations ombrageuses avec les Da Brucci alors que ma tête est mise à prix pour plusieurs milliions de Sequins. Regarder aux première loges le char de la ligue sinarchique couvrir le casse de la banque de Tempus pour mon compte, déguisé en moine. Sentir la tension de mes gardes du corps et de mes assassins potentiels dans la foule à été un délice. On m'avait conseillé de ne pas quitter la délégation mais.... ou aurait été l'audace... ou aurait été le panache ?
J'ai pris un plaisir immense à jouer ce personnage historique que je connaissais bien. Je regrette de ne pas avoir plus mis le boxon mais on ne peux pas être partout ! Être le champion chaotique et imprévisible d'une organisation secrète était un régal.
Cesare Borgia s'ennuyait de vivre, vous l'avez distrait pour un siècle de plus.
Merci