Tout est question de "culture d'asso". Les joueurs qui vont dormir en gîte / hôtel sont fréquents dans certaines asso (en tout cas j'en ai vu sur à peu près tous les GN que j'ai fait qui n'assuraient pas un logement en dur), et je soupçonne que, vu le nombre de joueurs du TF, vous avez nécessairement drainé des membres de cette population.
D'ailleurs, il y en a dans mon groupe de ce que j'ai compris.
Après, avant de tomber dans la critique facile, les GN qui permettent ça le permettent de manière fair play ("arrêt" du jeu entre 4 et 9H du matin, par exemple, ou campement hors jeu de manière générale), et les joueurs adeptes du GN bourgeois
(pardon...) n'abusent pas, partent tard et reviennent tôt. C'est un choix qui, à mon sens, n'appelle ni de jugement moral ni de remarques condescendantes. On est bien libre de jouer comme on l'entend tant qu'on est dans le respect des autres, non ? Depuis quand des diktats moraux s'appliquent à notre loisir ?
Donc, si je peux me permettre un avis, entre des joueurs qui ont l'habitude de fonctionner comme ça (et je connais des joueurs exceptionnels - je ne sais pas s'ils sont sur le FT - qui par ailleurs refuseront de venir s'ils sont obligé de dormir à la dure) et une volonté des orgas de permettre les actions nocturnes, le plus efficace serait peut être de mettre en place un règle officielle ? Par exemple, les gens qui quittent la zone de jeu laissent leur affaires dans le coffre de groupe, et un gros papier avec leur nom dans leur camp de jeu si jamais on voulait les égorger (bonheur d'arriver le matin pour se trouver mort
). Et en cas d'action violente, les agresseurs étant alors fair play, sur la cohérence et la possibilité de faire leur mauvais coup, considérant que les personnes
devraient être entrain de dormir là.
Bon, après, moi je dors en jeu parce que je n'ai de toute manière pas les moyens de me payer un hôtel, mais franchement, je déteste être réveillé la nuit pour une action de jeu. Si on me laisse aller planter ma tente hors jeu au fond d'un champ, pour les trois pauvres petites heures de sommeil que je vais m'accorder, je prends. Et je laisse tout mon or dans le camp, pas de soucis.